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    Mardi 13 au Jeudi 15 Mars 

    Santiago

    vue du cerro Santa Lucia 

      

     

     

     

    La Moneda, façade arrière palais présidentiel.

    On peut faire les curieux, mais pas trop! Les policiers et les gardes quadrillent le secteur.              

      

    La Moneda

     

     

    Cerro Santa Lucia, vue imprenable sur la ville.

     

     

     

     

     

     

     

                                                                                        Reflet de La cathédrale,

    Deux pour le prix d'une! Très croyants, les chiliens adorent dédoubler leurs églises dans des tours de verre. 

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    Le Mercado central, étals de poissons, de fruits de mer et petits restaurants.

     

     

     

      

     

      

                                      BOUTIQUES de RUE:

     Limpiabotas cirage & lustrage 500 pesos

      Santiago, dernières heures chiliennes Petite pause Moté  appréciée des filles, cette boisson populaire est très rafraichissante. A base d'eau sucrée et de grains de blés dans laquelle gonfle une pêche réhydratée

      

      

    Vendeur ambulant de minis pizzas huileuses à consommer avec nappage de ketchup, mayonnaise; pas très équilibré mais très demandé. Non testé....

      

     Partie d'échecs sur la Plaza de Armas. 

      

      

      

      

      

      

      

      

    Un clown faisant son show.

      

     

    Nous ne pouvions pas être à Santiago sans voir la maison de Pablo Neruda

    la CHASCONA.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Santiago, c'est aussi de la "grande" gastronomie...

     

    chorrillana aux 3savores       chupe de mariscos          chorrillana             lomito italiano avec sauce palta et mayo

    Santiago en 3 mots...

    On l'avoue, on n'avait pas une envie folle de venir à Santiago. Pas très emballés à l'idée de se retrouver dans une grande ville après nos aventures récentes faites de grands espaces et de solitude. Les guides touristiques et les impressions de plusieurs voyageurs n'étaient pas très élogieux. Eh bien, pour tout dire, durant ces 3 jours dans la Capitale, nous nous sommes sentis très à l'aise. On peut même dire que l'on a aimé. C'est Vrai que cette ville ne présente pas un grand intérêt touristique. A part La Moneda, la Chascona de Neruda, quelques monuments et musées pas grand chose à visiter. Par contre, c'est un vrai plaisir d'y flâner . Ici on est loin du bruit et du stress de Buenos Aires. L'ambiance y est plus tranquile, plus détendue. Tout se passe dans la rue: à l'ombre des places, les joueurs d'échecs s'instalent, les clowns, les humoristes et prédicateurs font leur numéro, sur les trottoirs, les tireuses de cartes (Tarot) lisent l'avenir, les limpiabotas cirent les pompes des employés de bureau et les vendeurs en tout genre font leur business... 

    C'est donc sur cette note positive inattendue que se termine notre épisode chilien. Maintenant à nous l'Equateur...Vendredi nous prenons l'avion pour Quito avec une escale à Bogota. Pour ne pas se lever aux aurores, nous allons dormir dans l'aéroport (une première!)

     

     


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  • Détente à Pisco Elqui

    Jeudi 8 au lundi 12 mars

      

    A l'heure de quitter la poussière d'Atacama, notre destination n'était pas claire. Le seul objectif étant de patienter jusqu'au 16 mars, date de notre vol pour Quito (Equateur).

    Rien de prévu dans le roadbook! Pourtant plusieurs alternatives possibles: filer directement vers Santiago de Chile (à 1800km) ou s'arrêter à La Serena, une des plus ancienne ville du pays baignée par le Pacifique. Les échos entendus ça et là sur Santiago n'étant pas très favorables nous prenons nos billets pour la doyenne nationale, La Serena, sans trop savoir quoi y faire. Dans la matinée et après une mauvaise nuit dans le bus, nous récupérons nos sacs à dos et les posons dans le terne Terminal.

    Les commentaires du guide sur la ville ne font pas rêver: à part ses 8 églises et quelques vieux monuments pas grand chose à se mettre sous la dent. Nous choisissons donc d'aller nous perdre dans la proche Valle d'Elqui, terre de vignes et berceau du Pisco, eau de vie de raisin et grande fierté nationale. Le bus qui nous amène dans le village de Pisco Elqui circule entre des montagnes où, à part les cailloux et des cactus, rien ne pousse. Dans le fond de la vallée et sur les pentes rocailleuses, par contre, les vignes suspendues (à l'espagnol) forment une sinueuse coulée verte. Le raisin rouge, jaune et rosé mûrit sous un ardent soleil. Comme pour beaucoup de matières premières chiliennes la plus grande partie des récoltes est destinée à l'exportation. Pas facile de trouver dans les magasins du coin du vin et autres fruits et légumes qui poussent pour autant partout... Détente à Pisco Elqui

    Nous passons le village de Monte Grande où vécut la poétesse Gabriela Mistral (on connaissait pas non plus!!) avant d'atteindre Pisco Elqui. Le patelin est paisible, presque endormi. Deux rues pentues se rejoignent sous les arbres de la place de l'église. Les hôtels, restaurants et autres agences de tourismes sont déserts mais on imagine que les touristes doivent s'agglutiner en périodes de vacances. Le camping "Los Pipiolos" où nous plantons la tente offre un Détente à Pisco Elquipanorama unique sur les montagnes et les vignes. Détente à Pisco Elqui

    En plus de la piscine, un petit ruisseau coule entre les saules pleureurs. Sympa! Ca fait oublier que malgré le tarif, il n'y a ni électricité ni eau chaude! ! Détente à Pisco Elqui

    Pendant 5 jours le temps s'écoule lentement entre petites balades, baignades, séances de CNED, cueillette de figues et de raisin (succulent), et observation du ciel magnifiquement étoilé (la région est un spot pour les astronomes du monde entier)Détente à Pisco Elqui.Détente à Pisco Elqui Détente à Pisco Elqui

    Détente à Pisco Elqui

    C'est lundi c'est raviolis!

    Dîner au resto? Pourquoi pas! ça changera des soirées pâtes! Nous quittons le campement et nous asseyons au "Rustika". Un agréable bar resto en extérieur où reigne une bonne ambiance sur fond de bachatta. Après un petit verre de Pisco Sour, nous commandons une pizza pour contenter notre faim. Surprise... ... La pizza n'est pas plus grande qu'un mouchoir de poche!! En commander une autre ne servirait à rien. Nous rentrons le ventre creux avec l'idée de se le remplir avec une bonne plâtrée de raviolis. C'est dégoutés et toujours le ventre creux que nous passerons la nuit après que la gamelle se soit renversée envoyant tout son contenu dans la poussière!! les joies du camping. Détente à Pisco Elqui

      

    Boisson nationale du Chili: le Pisco Sour

    L'eau de vie de raisin est coupée avec un jus de citron pour donner ce coktail savoureux. Pourtant, sûrement pour des raisons économiques, chiliens et péruviens se livrent une guerre sans pitié pour s'approprier la paternité du Pisco. Malgré qu'il soit cultivé depuis plusieurs siècles au Pérou (vigne apportée par les conquistadors espagnol), les chiliens revendiquent qu'ils ont donné au Pisco sa notoriété mondiale. Les deux pays se vantent de produire la meilleure qualité. Le village où nous avons passé ces derniers jours est la preuve de cette lutte. Autrefois appelé "La Union" il a été rebaptisé Pisco Elqui.

    Cette étape imprévue restera un des bons moments du voyage...Détente à Pisco Elqui


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    les Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacama

    "LES MOCHILAS" ne sont pas une tribu du désert d'Atacama mais notre nom de voyageurs. Mochilas se traduit tout simplement par sac à dos en espagnol. Les Chamacos nous ont appris beaucoup de leur expérience après un an et demi a sillonné l'Afrique de l'est et l'Amérique du sud. Règle essentielle: ne pas rester anonymes et susciter les rencontres qui on l'a vu sont porteuses de surprises et de souvenirs incroyables. On a pu constater que leur camion original et leur plaque française attiraient l'attention et les embarquaient souvent dans de belles aventures. Du coup, nous avons décidé d'aller plus au contact et de nous singulariser avec des petits drapeaux tricolores que nous accrocherons à nos sacs. Sans être cocardiers, on s'aperçoit que les gens réagissent à ce genre de détails. Ici, contrairement à la France où nous avons sûrement un complexe, les sud américains sont fiers de leur pays et arborent en toute occasion leur drapeau. Nous avons donc chargé Myline de s'en procurer deux de petites tailles, rassurez-vousles Mochilas à san Pedro de Atacama!les Mochilas à san Pedro de Atacama

    Nous sommes en ce moment à Calama où nous attendons le bus qui nous déposera à la Serena, une ville balnéraire située au nord de Santiago de Chile. Le 16 mars nous décollerons de la capitale pour une autre capitale, Quito. Là-bas Myline se joindra aux Mochilas pour notre étape équatorienne. Il y a donc deux heures vient de s'achever notre séjour à San Pedro de Atacama.les Mochilas à san Pedro de Atacama

    Nous y serons restés 6 jours (du 2 au 7 mars) qui nous laisserons des souvenirs mitigés. Un peu de tristesse d'y avoir quitté nos amis et heureux d'avoir pu découvrir un endroit aussi exceptionnel. Situé dans le désert le plus aride du monde (de grosses pluies avaient pourtant sinistré la région la semaine précèdente) San Pedro de Atacama est une petite bourgade isolée à la fois héritière d'une histoire pré-colombienne très ancienne, mais dévorée par les méfaits du tourisme. les Mochilas à san Pedro de AtacamaLe village aux habitations typiques est devenu un des plus important site touristique du pays. Les habitants ont fui le centre ville remplacés par des tours opérateurs, loueurs de VTT, planches de sandboards, des hôtels ou des restaurants. Des touristes des 4 coins du monde se baladent dans les rues terreuses plombées par un soleil accablant ou balayées par un vent frais descendu des chaines andines.

    Cet afflux s'explique par la magie de la nature qui s'exprime aux portes du village. La valle de la luna, la valle de la muerte, la cordillera de la sal, les geysers, les volcans, les salars sont des richesses naturelles sans comparaison. Fascinants déserts les Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacamaminéraux à découvrir en 4X4 à vélo à cheval...les Mochilas à san Pedro de Atacama.les Mochilas à san Pedro de Atacama.les Mochilas à san Pedro de Atacama

    Surpris par les tarifs des tours nous sautons dans un 4X4 qui nous transportera et sera notre logement le temps d'une nuit. Nous surplombons la cordillera de la sal où la roche rouge se mélange les Mochilas à san Pedro de Atacamaà la blancheur du sel. Nous tentons ensuite de découvrir la valle de la luna. Fermée nous venons donc sur nos pas pour découvrir la valle de la muerte et assister au coucher de soleilles Mochilas à san Pedro de Atacama.les Mochilas à san Pedro de Atacama

    Le lendemain, réveil à l'aube (4h30 du mat) pour nous diriger vers les geysers del Tatio. Pas facile de suivre la piste, alors nous suivons les feux des bus des touristes qui nous tracent le chemin. Arrivés sur place, l'atmosphère est particulière. Un épais brouillard enveloppe la zone des geysers et la visibilité est quasi nulle. Les filles encore endormies à l'arrière du 4X4, nous déjeunons en attendant que le soleil veuille bien percer. Pressés les tours opérateurs emportent les touristes qui n'auront rien pu voir. On est heureux de ne pas faire partie du troupeau, notre patience est récompensée lorsque les premiers rayons du soleil apparaissent. Nous sommes seuls près des étranges croûtes rocheuses qui crachent une eau à 85°C ou dégagent une fumée vaporeuse. Le spectacle fumant est superbe d'autant que les gysers se concentrent au milieu d'une plaine entourée de montagnes. Entre les jets de vapeur, quelques vigognes cherchent des touffes d'herbes. On s'attarde un peu puis reprenons le petit bout de piste qui s'arrête aux piscines d'eaux chaudes. L'endroit est presque désert mieux vaut partir en compagnie des derniers véhicules pour éviter des soucis sur la piste plutôt cassanteles Mochilas à san Pedro de Atacamales Mochilas à san Pedro de Atacama.les Mochilas à san Pedro de Atacama les Mochilas à san Pedro de Atacama

    2h3les Mochilas à san Pedro de Atacama2h30 plus tard, nous retrouvons les environs de San Pedro et la civilisation. Après s'être acquittés des 4600pesos (ici tout se paie) nous découvrons la laguna Cejar, une lagune formée par les retombées salées d'un ancien lac. Seuls deux plans d'eaux ont échappé au phénomène d'évaporation. La baignade y est autorisée mais la teneur en sel fait flotter n'importe quel corps et promet une sensation désagréable au séchage. Nous y plongeons seulement les pieds et bien vite nous entons notre peau craqueler et blanchir sous l'effet du sel et du soleil implacable.les Mochilas à san Pedro de Atacama les Mochilas à san Pedro de Atacama

    Nous rentrons au camping "Los Abuelos" avec une boule au ventre; les amis sont partis et l'on apprécie que moyennement notre soudaine solitude. Ayant fait le tour des environs, nous prenons nos billets avec tur bus pour notre prochaine destination La Serena et la valle de l'Elqui, terre du pisco chilien.


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     Si Valparaiso est envoûtante, le cadre splendide, les "cerros colorés, l'endroit chargé d'histoire, de poésie et de liberté, il y a aussi l'envers du décor.

    Les guides et les touristes n'y font pas souvent allusion car c'est peut être aussi ce qui fait partie de son charme.

     En parcourant la ville basse et les cerros, on ne peut passer à côté des aspects plus négatifs: Dans l'ensemble, les rues sont plutôt sales. C'est vrai que les habitants ont la fâcheuse tendance à balancer leur déchets et visiblement les services de nettoyage ne sont pas très performants.

    Beaucoup de maisons, de bâtiments sont des ruines et ne figurent évidement pas sur les cartesValparaiso: l'envers du décor Valparaiso: l'envers du décor postales.

     Louna, qui a l'odorat sensible, se bouche souvent le nez en prononçant sa fameuse expression: "Oh! Ca pue du chlingue!!" C'est sympa de voir des chats partout mais il y a aussi des inconvénients!  

    En un mot, Valparaiso c'est beau mais pas que...Valparaiso: l'envers du décor

    A vous de juger...Valparaiso: l'envers du décor

    Valparaiso: l'envers du décorValparaiso: l'envers du décor


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  • Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

     

    Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

      

                                                 JEUDI-VENDREDI-SAMEDI 11 FEVRIER

    Valparaiso: voilà déjà 3 jours que nous traînons nos savates dans les rues pentues et biscornues de la ville.

    Classée par l'Unesco au patrimoine de l'humanité, elle ne laisse pas indifférents les voyageurs qui s'y arrêtent par son originalité. Neruda, le plus célèbre poète chilien s'y est installé après avoir parcouru le monde (ambassadeur) pour y trouver l'inspiration.  Avant même ques les hommes ne s'établissent ici on imagine que l'endroit devait déjà être magnifique. Une anse en forme d'amphithéâtre naturel que dominent des cerros (collines) arrondis. Ces hauteurs forment des patchworks de maisons colorées, collées les unes aux autres dans un sympathique désordre. Pour y accéder, les habitants prennent des ascenseurs pour ne pas se coltiner ces escaliers aussi abrupts qu' interminables. Pas de chance, le temps et la crise sont passés par là et  la plupart sont hors service. Selon un local avec qui nous avons abordé le sujet, seuls 6 fonctionnent sur une soixantaine . Tans pis! nos jambes nous amènent là-haut.Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

     Après avoir fait quelques pas et fait 2 ou 3 photos, une patrouille de police nous conseille de faire demi-tour pour éviter les ennuis. Pas si poétique!! Nous ne prenons pas de risques et suivons l'itinéraire à touristes pour nous rendre dans les "Cerros" Concepcion et Alegre. Bizarrement on se sent bien même si la délinquance est bien réelle. Les filles sont contentes, ça fera moins Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012dJeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012e trucs à visiter!  Nous nous baladons dans les ruelles désertes (Y a quelqu'un???) découvrant des façades colorées et de jolies fresques. Ici, la liberté s'exprime en couleur.

     Une empanada de crabe et de choclo (maïs) nous donne la pêche pour monter jusqu'à la "Sebastiana": Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012La maison de Pablo Neruda à l'architecture originale.  Sur 4 étages et semblant flotter dans les airs, elle offre un superbe panorama sur la ville. Dévastée pendant la dictature elle est aujourd'hui un musée.Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    Sous le soleil, nous continuons notre visite. Létis est un peu déçue par l'absence totale d'ambiance. Nous redescendons vers le port. Ca bouillonne. La foule s'agglutine sur les quais. Les "lanchas" (petites embarcations) embarquent les touristes pour un petits tours en mer. Les cargos sont vidés de leurs containers et au loin on aperçoit les navires de guerre. Indifférents, les pélicans planent au dessus de nos têtes. Nous, nous profitons du spectacle. Des oiseaux marins tournoient dans le ciel et piquent pour disparaître dans l'eau à la recherche de poissons.Valparaiso et ses couleursJeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

      

      

      

      

      

      

      

    Les "troles", de vieux bus électriques (français??) suivent leur câble dans un trafic infernal cadencé par les feux tricolores.    Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012                        

    Sur les places, les chanteurs font leur show, les évangélistes vocifèrent leurs bondieuseries, les vendeurs préparent des hot dog et de galettes huileuses servies avec du ketchup et de la mayo (!!!). Loryne s'essaie à l'espagnol et paie les 1000 pesos pour pédaler 15 mn sur des tricycles déglingués. Toutes les 2 ont la banane en tournant sur leur bolide autour d'une statue d'un personnage célèbre (on ne connaît pas) peu respecté des pigeons.Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

    20h30: le temps file vite. On fait quelques achats de légumes au marché couvert (typique!) puis on rentre se réchauffer autour d'un pisco (eau de vie de raisin) dans notre chambre verte.Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

    Réveil tardif (10h) Nous passons l'après midi sur le bord de mer à admirer des lions de mer qui nous offrent un bien joli spectacle. Le projet d'aller à la plage est remis à plus tard. Même si les lions de mers et les chiliens se baignent, l'eau est définitivement trop glacée. Aujourd'hui la brume venue du Pacifique n'a pas enveloppé la ville mais on supporte bien nos petites laines.Valparaiso et ses couleursValparaiso et ses couleurs Valparaiso et ses couleursNous rentrons. Nous devons préparer la suite. les prix des billets pour rejoindre le nord du pays, San Pedro de Atacama et Arica sont élevés. Nous ne ferons pas comme la plupart des blogs qui se sentent obligés d'insérer dans leurs impressions de Valparaiso un petit poème de Neruda.

      

     

      Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012

    Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012Jeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012quelques fresques magnifiques rencontrées lors de nos marchesJeudi-Vendredi-Samedi 11 février 2012


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